L’immobilier neuf en Occitanie
L’immobilier neuf profite d’une situation favorable en Occitanie, notamment due au dynamisme de ces deux capitales : Toulouse et Montpellier. Avec une économie florissante, résultant du développement des entreprises régionales, les deux villes et leur agglomération constituent les noyaux durs de l’Occitanie. Les capitales occitanes brillent également en matière d’éducation et constituent des pôles d’excellence qui attirent les étudiants année après année. Une des conséquences de ce dynamisme est la bonne santé du marché immobilier neuf dans la région.
Les chiffres de la FPI sur l’aire urbaine de Toulouse en 2019- Au 3ème trimestre 2019, les mises en ventes (1 501 lancements commerciaux) sont en hausse de +9% par rapport au 3ème trimestre 2018.
- Les réservations à propriétaires occupants (563 unités) sont en hausse (+36%) par rapport au niveau du 3ème trimestre 2018.
- Le prix de vente moyen sur l’Aire Urbaine de Toulouse (3 806 €/m² habitable, hors parking) est en hausse de +5,2% par rapport à celui du 3ème trimestre 2018.
- Au 3ème trimestre 2019, les mises en vente (1 199 lancements) augmente de +15% pour l’ex‐Région Languedoc‐Roussillon.
- Les réservations à propriétaires occupants augmentent de +9% (424 unités) par rapport au 3ème trimestre 2018.
- le prix de vente moyen sur l’ex‐région Languedoc‐Roussillon est en hausse de +7,2% pour s’établir à 3 845 €/m² (habitable, hors parking).
Pour résumer les chiffres de l’Observatoire de l’immobilier de la FPI, le marché présente d’excellentes statistiques en Midi-Pyrénées et des résultats un peu plus modestes dans le Languedoc-Roussillon. La petite sœur de la capitale occitane n’a pourtant pas à rougir de ses résultats : bien qu’elle ait du mal à attirer les investisseurs, les ventes à propriétaires occupants sont très satisfaisants. Comparée à Toulouse, la principale faiblesse de la capitale de l’Hérault est certainement l’offre insuffisante en logements neufs. En effet, la ville est très attractive et présente un fort potentiel pour investir, toutefois le manque de logements neufs ne permet tout simplement pas aux investisseurs d’y investir.
Investir en Occitanie
Il fait bon investir dans l’immobilier neuf en Occitanie ! Le classement Explorimmo le confirme en plaçant Toulouse et Montpellier dans son Palmarès 2017 des villes où investir dans l’immobilier neuf en France. S’il fallait choisir de villes où réaliser son investissement Pinel en Occitanie, il s’agit sans aucun doute des deux capitales occitanes.
La loi Pinel à Toulouse
Capitale de l’aéronautique, Toulouse brille au niveau mondial grâce à Airbus et tous les acteurs de l’industrie. Egalement surnommée “la ville rose”, Toulouse profite d’un emplacement particulièrement avantageux dans le sud-ouest de la France, à mi-distance de la mer, de l’océan et des montagnes. Première ville étudiante à plusieurs reprises et deux fois classée première ville où investir dans l’immobilier en France, Toulouse présente toutes les qualités pour réaliser un investissement en loi Pinel réussi.
Toulouse se situe en zone A. Ainsi, elle reste éligible à la loi Pinel jusqu’à fin 2024. Le maintien du dispositif est une très bonne nouvelle pour les différentes municipalités qui composent l’agglomération toulousaine ainsi que les professionnels de l’immobilier. En effet, la ville rose est le lieu de nombreux programmes immobiliers qui viendront étoffer l’offre actuelle, qui peine légèrement à répondre à la demande locative.
La loi Pinel à Montpellier
Située sur la côte méditerranéenne, la ville de Montpellier est le chef-lieu de l’Hérault et du Languedoc-Roussillon. Troisième ville étudiante de France, elle accueille une population très jeune qu’il faut évidemment loger. Avec une forte demande locative, investir en loi Pinel à Montpellier est particulièrement intéressant.
Avec une demande en perpétuelle croissance et une offre en logements neufs insuffisante, Montpellier est considérée comme une zone tendue (zone A). Le maintien de la loi Pinel dans la commune jusqu’au 31 décembre 2024 permettra de faire face au déficit en logements en relançant la construction immobilière.